la géopolitique en bronzant !
☺
- La Sorbonne - 11 décembre 2014
Première table ronde
- Allocution introductive par Monsieur le Député Maire Jacques Myard
- Mot d'introduction Par Ali RASTBEEN
Pour les plus gourmands, vous pouvez poursuivre avec le colloque du 21 mai 2015 : La France peut-elle retrouver une diplomatie
Et n'hésitez pas à farfouiller sur ce site d'une grande rigueur intellectuelle, à mille lieux de l'amateurisme et de la médiocrité du Quai d'Orsay version Fabius (responsable mais pas coupable parce que Al-Nosra fait du bon boulot...) et de l'Élysée version moi-président (ce guignol qui a le doigt sur le bouton nucléaire et qui semble ignorer qu' Israël détient l'arme nucléaire (c'est rassurant pour la compréhension des enjeux. Cet individu a pris la détestable habitude de prendre les français pour des abrutis, quant à notre réputation à l'étranger... soupir !
Rappelons, à toute fin utile, que grâce à l'opportune réforme de la Constitution sous le mandat de Nicolas Sarkozy (l'ex-président blanc comme neige aux 9 affaires), la notion de « haute trahison » a disparu des textes... CQFD
Depuis la loi constitutionnelle n° 2007-238 du 23 février 2007 [2], la notion de haute trahison est purement et simplement supprimée du texte constitutionnel pour être remplacée par : « Le Président de la République ne peut être destitué qu’en cas de manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l’exercice de son mandat » (article 68 nouveau [3]). La raison donnée pour la suppression était le manque de précision du terme « haute trahison » – précision qui aurait été très bien pu être donnée par le Conseil constitutionnel – et le risque de retoquage par la Cour européenne des droits de l’homme. Il est vrai que le terme « manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l’exercice du mandat » constitue une dénomination nettement plus claire que la mention « haute trahison ».