la géopolitique en bronzant !

Publié le par millésime66

On profite de l'été pour potasser et réviser sa géopolitique

 

ACADÉMIE DE GÉOPOLITIQUE DE PARIS

Colloque : « la géopolitique du terrorisme » - La Sorbonne - 11 décembre 2014

Première table ronde

- Allocution introductive par Monsieur le Député Maire Jacques Myard

- Mot d'introduction Par Ali RASTBEEN

1. Laurent LADOUCE, Directeur de recherche Fédération pour la paix universelle, « La généalogie du terrorisme moderne »

2. Bernard WICHT, Maitre de conférences à l’Université de Lausanne, « Une révolution militaire en sous-sol ? »

3. Christine BIERRE, Rédactrice- en-chef de Nouvelle Solidarité,« Le rôle de l’Arabie Saoudite dans les attentas du 11 septembre »

4. Elie HATEM, Avocat à la cour, enseignant à la Faculté Libre de Droit, d'Économie et de Gestion de Paris (FALCO), « Les mercenaires européens du Djihâd »

5. Jean-Paul GOUREVITCH, Expert international des questions africaines, « L'Islamo-business vivier du terrorisme »

6. Bassam TAHHAN, Professeur de géostratégie à l’École Nationale Supérieure de Techniques Avancées (Ensta), « Le Djihâd selon le fondateur des frères musulman »

 

Deuxième table ronde

1. Thomas Flichy de La NEUVILLE, Professeur à l’Ecole Militaire de Saint-Cyr, « Etat islamique, anatomie, du nouveau Califat »

2. Frédéric PICHON, Chercheur associé à l'Equipe Monde Arabe Méditerranée de l'Université François Rabelais (Tours), « La dimension eschatologique du jihad en Syrie et en Irak »

3. S.E. Ali AHANI, Ambassadeur de la république islamique d’Iran à Paris
« Stratégies de la République Islamique d’Iran face à la menace terroriste »

4. Frédéric SAILLOT, écrivain et journaliste à Eurasie Express, « De l' "Euromaïdan" à la guerre civile, terreur et terrorisme en Ukraine (2013-2014) »

5. Jacques CHEMINADE, Président-fondateur du parti Solidarité & Progrès,
« Les racines britanniques du terrorisme international »

6. Mikhail REMIZOV, Président de l’Institut de Stratégie Nationale et conseiller du Vice Premier Ministre Dmitri Rogozine, « L’Islamisme en Russie et des risques en Asie Centrale »

 

Pour les plus gourmands, vous pouvez poursuivre avec le colloque du 21 mai 2015 :         « La France peut-elle retrouver une diplomatie ? »

Première table ronde

Deuxième table ronde

Troisième table ronde

 

Et n'hésitez pas à farfouiller sur ce site d'une grande rigueur intellectuelle, à mille lieux de l'amateurisme et de la médiocrité du Quai d'Orsay version Fabius (responsable mais pas coupable parce que Al-Nosra fait du bon boulot...) et de l'Élysée version moi-président (ce guignol qui a le doigt sur le bouton nucléaire et qui semble ignorer qu' Israël détient l'arme nucléaire (c'est rassurant pour la compréhension des enjeux...). Cet individu a          définitivement pris la détestable habitude de prendre les français pour des abrutis,           quant à notre réputation à l'étranger... soupir !

Rappelons, à toute fin utile, que grâce à l'opportune réforme de la Constitution sous le mandat de Nicolas Sarkozy (l'ex-président blanc comme neige aux 9 affaires), la notion de « haute trahison » a disparu des textes... CQFD

Depuis la loi constitutionnelle n° 2007-238 du 23 février 2007 [2], la notion de haute trahison est purement et simplement supprimée du texte constitutionnel pour être remplacée par : « Le Président de la République ne peut être destitué qu’en cas de manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l’exercice de son mandat » (article 68 nouveau [3]). La raison donnée pour la suppression était le manque de précision du terme « haute trahison » – précision qui aurait été très bien pu être donnée par le Conseil constitutionnel – et le risque de retoquage par la Cour européenne des droits de l’homme. Il est vrai que le terme « manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l’exercice du mandat » constitue une dénomination nettement plus claire que la mention « haute trahison ».

 

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