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La bourse au mérite, réservée aux bacheliers de milieux modestes ayant décroché la mention très bien, est désormais supprimée !

« C’est un choix délibéré sur lequel on ne reviendra pas », assume la secrétaire d’Etat chargée de l’Enseignement supérieur, Geneviève Fioraso, qui explique que la priorité est désormais donnée aux critères sociaux".

Ben pourquoi ?

1/ Dans le logos socialiste, l'excellence c'est mal. Une mention TB représente donc une insoutenable atteinte au dogme égalité ! La bourse au mérite récompense les efforts produits par des lycéens qui veulent se donner toutes les chances pour faire de belles études supérieures. Oui mais des efforts, c'est discriminant pour les autres ! Il faut araser tout ça; l'excellence intellectuelle est donc du champ républicain. Attention, à ne pas confondre avec l'excellence sportive, littéraire, médiatique, artistique... Là, hissez haut les couleurs de la réussite pour les Ribéry, Evra, Apathie, Joffrin, Azziza, Hanouna, Damidot, Balasko, Biolay, Noah... des exemples pour la jeunesse de France...

2/ Dans le petit livre rose des socialistes, ce qui compte, c'est le social. Mais comme toujours avec nos amis à la fleur fanée, les mots ont une double signification. Selon votre auditoire, vous prenez la définition qu'il vous convient, c'est très pratique. Ainsi avec social, vous entendez classe ouvrière, milieux modestes bref vous décodez en terme économique. Oui mais non. Là, il faut traduire diversité, mixité, égalité des chances (vous commencez à comprendre) et les critères à prohiber sont : l'origine, le sexe, les mœurs, l'orientation sexuelle, l'appartenance ou la non appartenance, vraie ou supposée à une ethnie, une nation ou une race, les opinions politiques, les activités syndicales ou mutualistes, les convictions religieuses, l'apparence physique, le patronyme, l'état de santé, le handicap, l'état de grossesse, l'âge, la situation de famille, les caractéristiques génétiques, l'identité sexuelle.

Vous comprendre ? Moi avoir bien bien compris...

C'est d'ailleurs dans cet esprit qu'il faut saluer la nomination de l'incompétent Pierre Moscovici au poste de commissaire européen aux Affaires économiques. Si, si ! Vous me direz pour une fois qu'on exporte avec succès ! Et puis c'était ça ou Guigou, alors !!!

Mosco qui a si mal géré les Finances du pays lors de son passage à Bercy, Mosco, l'ancien de la Ligue Communiste Révolutionnaire bombardé dans le temple du libéralisme européen ! La vérité, c'est beau !

Et c'est pas fini mais attention parce que là ça pique :

Traitement de base mensuel : 20 667,20 € bruts par mois. Ce montant correspond à 112,5% du traitement de base d'un fonctionnaire de l'Union européenne.

Indemnité mensuelle de représentation : 607,71 € bruts par mois.

Indemnité de résidence : 3 100,08 € bruts par mois. Elle représente 15% du traitement de base mensuel.

Indemnité de frais d'installations : 41 334,40 € bruts lors de la prise de fonction puis 20 667,20 € lors de la cessation des fonctions. A compter du 1er jour qui suit la cessation de ses fonctions, un ancien membre de la Commission européenne perçoit une indemnité transitoire mensuelle comprise entre 8 266,88 € et 13 433,68 €, selon la durée de son mandat.

Avantages : allocations familiales (jusqu'à 5% du montant du traitement de base soit 1 033,36 € par mois), remboursement des frais de mission, indemnité par journée entière de déplacement, indemnité transitoire après cessation de fonction. A l'âge de 65 ans révolus, les anciens membres de la Commission ont droit à une pension à vie. Son montant annuel ne peut excéder 70% du dernier traitement de base, soit 14 467,04 €.

Hein, elle est pas rose la vie !

Vive l'égalité des chances socialistes et vive le redressement retourné avec Moi président !